Tant de bonté ! J'en rêve ! Merci Chirac !

Bon.

Là j'avoue. J'me partage entre "c'était prévisible" et "mais ils cherchent quoi au juste ?".

Heureusement, dans son immense bonté, monseigneur Chirac et ses accolytes vous accorderont, et vous les en remercierez certainement, le droit, chers citoyens, de savoir, comme c'est généreux le motif de votre licenciement. Merci, vous êtes trop bons.
En plus, réjouissez vous, de un an, on passe à deux, voilà le contrat rendu bien plus vivable ! Et comme on vous prend pas pour des cons, surtout, on espère que vous vous rendrez pas compte que ça ne change RIEN.

Alors, vive la France, que chacun reste "à sa place".

Le prompteur a parlé.

Et c'est pas demain qu'on retrouvera nos semaines monotones les amis.